Du dimanche 27 sept. 2015 au dimanche 27 sept. 2015
CONCERT - LA FÉLINE
Capture%20d%e2%80%99%c3%a9cran%202015-08-14%20%c3%a0%2014.24.52

Une personnalité montante

dans le monde de la Pop "à la française"


Agnès Gayraud (guitare et chant)

accompagnée aux claviers par Audrey Bizouerne


Un nom de scène sexy 40's inspiré du film "La féline" de Jacques Tourneur, une voix précise, la chanteuse et guitariste Agnes Gayraud fascine l'underground parisien depuis quelques années avec une écriture singulière, à la fois sensible et engagée. Tout en gravité légère, sur des arrangements pop ou new wave épurés, nécessaires.

La Féline fait les premières parties de Dominique A et Etienne Daho, des ciné-concerts et de nombreux concerts à travers la Françe. Elle chante en français. 


" Une griffe est née, et pas des moindres."            Francoscopie

 

Écoutez quelques extraits :

    https://www.youtube.com/watch?v=-oZL_1ly7dA

    https://www.youtube.com/watch?v=hggQlyp0hVM

En savoir plus sur A FÉLINE:

Après cinq ans à squatter l’underground parisien, La Féline annonce avec un EP, “Adieu l’Enfance”, l’album qui la fera sortir de l’ombre. En se recentrant sur le français après avoir fait sonner l’arabe, l’anglais et l’espagnol comme personne, La Féline trouve la formule d’une cold wave minimale, d’une pop intelligente, nocturne et sensuelle.

 

Fantasmatique et spéculaire, c’est ce qui vient à l’esprit quand on découvre La Féline, groupe de Xavier Thiry (Hello Kurt) au synthé et à la production et de la fascinante Agnès Gayraud au chant, à la guitare, à l’écriture et à la composition. Il faut d’ailleurs commencer par raconter l’histoire de ce mystérieux oiseau de nuit pour mieux comprendre les contes et comptines que nous chante La Féline.

Née d’une mère andalouse et d’un père absent, Agnès commence par s’intéresser à la musique par la philosophie. Agrégée et normalienne, la musicienne tient également un blog (Moderne, c’est déjà vieux) où elle partage, souvent avec finesse, les choses qui la touchent, qui la font réfléchir, de l’électronicien Mondkopf au cinéaste Werner Herzog en passant par la musique bolivienne de Luzmila Carpio. On s’étonnera alors que les textes ne dominent jamais la mélodie, les émotions étant transmises par un sorte d’alchimie entre les deux.

Ceux qui découvrent avec ces lignes l’existence de La Féline auraient vite fait de la cataloguer artiste intello, caution pop pour compositeur de musique concrète. On n’en est loin. Depuis La Féline EP, sorti en 2009, le groupe arpente les sentiers d’une musique synthétique qui – si elle n’a rien d’une prise de tête – multiplie quand même les directions, tantôt du côté des cantejandos andalous, tantôt vers un blues de cowboy contemporain. On pense parfois, proximité des noms oblige, à un double vénéneux de La Fiancée, un soleil noir qui éclaire la pellicule de courts métrages usés, car La Féline est définitivement cinématographique. Le groupe tire d’ailleurs son nom d’un film de Jacques Tourneur, réalisé dans les 40’s. Des morceaux comme des petits films à la nostalgie sans âge donc. Sur son EP de reprises, le bien nommé Echo, c’est le fantôme de Nico qui est convoqué et conjugué à un chant ciselé et habité.  

 


*Il s'agit du tarif normal. Celui-ci peut-être modifié si vous pouvez bénéficier du tarif réduit ou d'un prix de groupe. Plus de renseignements sur la page des Tarifs.